Toute discipline possède son idole, la France a eu la grande chance d’avoir un joueur plein de talents et de persévérance comme Alexis Thépot. Plein d’énergie, bourré de techniques, mais aussi d’espoir, ce formidable joueur a su révolutionner le monde du football français et le poste de gardien de but. 

Gardien de but Alexis Thépot .

Fiche footballeur Alexis Thépot

Identité :

- Pays d’origine : France

- Date et lieu de naissance : 30 Juillet 1906 à Brest (Finistère)

- Date de décès : 21 Février 1989 à l’âge de 92 ans à Morbihan

Caractéristiques physiques :

- Taille : 1m78

Période Pro : 1927 – 1938

- ? – 1927 : Armoricaine de Brest

- 1927 – 1928 : FEC Levallois

- 1928 – 1935 : Red Star FC

- 1935 – USL Dunkerque

Sélections en équipe nationales :

- 1927 – 1935 : Equipe de France

Son palmarès :

Grâce à sa persévérance et sa soif de jeu, Alexis Thépot est un sportif remarquable avec ses gants de foot. Il a commencé sa carrière à l’Armoricaine de Brest et sa progression l’a vu évoluer jusqu’à l’équipe de France. Il est également un joueur aux multiples visages qui a mené à la fois la vie de douanier et de footballeur professionnel. Son talent lui a valu le poste de délégué fédéral et membre du comité de sélection.

La Coupe du monde 1930 en Uruguay a marqué sa carrière

Alexis Thépot a gardé les buts des Bleus entre 1927 et 1935. En 1930, il a pris un congé de deux mois sans solde de son métier de douanier pour participer à la Coupe du monde en Uruguay. Lors du premier match, la France avait gagné 4-1 face aux Mexicains. Même si les Bleus ont perdu à deux reprises et n’ont pas remporté la compétition, Alexis Thépot était quand même désigné top gardien du tournoi.

Alexis Thépot a su quand mettre un terme à sa carrière et a laissé un énorme héritage

Après la Coupe du monde en Uruguay, Alexis Thépot enchaîne les tournois, va de club en club pour élargir ses compétences. Sa dernière croisade fut la Coupe du monde de 1958 en Suède lors de laquelle la France termine troisième du classement. Puis, il décide de démissionner suite à une lourde défaite contre la Suisse 6-2 à Bale. Il prendra ensuite sa retraite comme inspecteur principal des douanes en 1968 avant de s’éteindre en 1989 à Quiberon.

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